Les résistances électriques de réchauffement et la corrosion des installations

Les résistances électriques de réchauffement poussent des courants vagabonds dans les circuits qui peuvent favoriser la corrosion localisée et donc l’endommagement des composants de l’installation, en commençant pas les résistances électriques de réchauffement pour atteindre ensuite les parois du chauffe-eau.  
Généralement, pour sauvegarder ces composants, on installe des anodes sacrificielles en magnésium, qui peuvent être facilement remplacées, à la place des autres composants.  
Dans les installations de réchauffement, il existe des conditions qui favorisent la corrosion causée par les courants de parasites. Elles sont liées premièrement aux minéraux dissous dans l’eau qui avantagent les réactions électrolytiques, plus l’eau est dure et plus ce phénomène s’intensifie. Dans un circuit ouvert comme celui sanitaire, le contrôle est difficile sans installer des adoucisseurs à l’entrée de l’eau.
Deux autres facteurs qui incident fortement sont la température et la vitesse d’écoulement de l’eau. Les résistances électriques de réchauffement qui se trouvent sur le catalogue sont prédisposées à l’origine pour l’installation de ces anodes. Pour en limiter la corrosion, les résistances électriques sont construites en cuivre pur au 99,9%.

 

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